- L’hypnose médicale : où l’on accompagne simplement la personne dans un état d’hypnose pour apaiser douleurs et angoisses.
- L’hypnothérapie : où l’on va « rectifier » en profondeur certains blocages qui nous empêchent d’avancer vers notre objectif : insomnies, phobies, tocs, blocages liés aux addictions, etc.
- L’hypnocoaching : qui est très lié au développement personnel. Une fois que l’on a levé les blocages et que l’on peut travailler sur des bases solides, la prochaine étape est de développer ses aptitudes et capacités.
- L’autohypnose : assimilée à une sorte de méditation profonde, elle peut être utilisée dans une optique de gestion des douleurs, ou de développement personnel par exemple. Après quelques séances d’hypnose guidée, tout le monde peut acquérir rapidement des techniques pour créer soi-même ses états d’hypnose ! L’autohypnose est aussi très utile pour les personnes souffrant d’anxiété, de dépression ou de troubles bipolaires.
- L’hypnose de spectacle ou hypnose de rue : qui se pratique avec des personnes très suggestibles (qui réagissent très fortement aux suggestions). Le but n’est pas le bien-être mais de créer des phénomènes « spectaculaires ». Selon l’habileté de l’hypnotiseur et la suggestibilité du sujet, ces phénomènes hypnotiques sont possibles : doigts collés, pieds collés au sol, amnésie du prénom, désorientations temporo-spéciales, hallucinations, etc. Plus la suggestion est forte et contraignante, plus il faut une grande suggestibilité pour que cette dernière « passe ».
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